They said I was a fuckin' psycho but look at me now.

Tel un album de Blur, je reviens et tout le monde s'en fout. Ca fait longtemps que je n'ai plus dégobillé par ici et ça me manquait presque. Bon, nous allons donc abborder mes sujets favoris tout au long de cet article, c'est à dire les séries, la musique et les morpions de Denis Brogniart. N'attachez pas vos ceintures, le crash est de toute façon inévitable.

Je viens donc de finir la saison 1 de The United States of Tara et c'était franchement pas mal. En même temps quand y a Steven Spielberg à la coproduction tu peux pas test. J'ai surtout aimé voir Toni Collette s'enlaidir encore plus et m'amuser de son prénom horrible. J'ai savouré chaque générique juste pour ça, comme dirait mon copain Baloo, il en faut peu pour être heureux. Pour la musique, j'ai fait mon émo et je l'avoue. Je n'ai écouter que de l'électronica dépressive genre Phantogram, The XX ou Lali Puna. Maintenant que j'ai résisté à des chansons aussi tristes, je me dis vraiment que plus rien ne me poussera au suicide. Pas de chance pour vous, cela dit. A ce moment là de l'article, vous devez être tout exité à l'idée de parler de l'anus du présentateur de koh-lanta. Seulement, c'était un coup de pute de ma part car je n'ai pas encore regardé un seul épisode. Je crois qu'un "omg rofl lol wtf" est de rigueur. Quand on sait à quel point j'aime m'abrutir devant des télé-réalités hyper scénarisée ... Enfin voilà. Encore une fois : Tristesse et désespoir. Maintenant que je n'ai plus rien à raconté, je vais aller m'enfouir sous mes couvertures et lire Kundera. Histoire de récupérer les milliers de neurones que je viens de perdre par ici. Bail.